Abraxas – Αβρασσαξ

Les 2 abraxas du visuel ci-dessus font partie d’un ensemble considérable que Louis Boutard a déchiffré et utilisé pour la mise au point de ses appareillages. Seul un maître en « épigraphie comparée » a pu lire et mettre à la portée de tous ce qui était considéré comme de simples amulettes.

Les graveurs archaïques oeuvraient sur les dessins et textes de prêtres « hiérogrammates », mais ils ignoraient la nature , la valeur et le sens de ces dessins et textes; de ce fait très souvent altérés et déformés : cause d’erreurs aggravées de copie en copie au fil des âges.

Pierres gravées, camées, amulettes, avec épigraphies, zoographies et personnages symboliques, dessinés généralement dans le cadres d’un cercle ovale, ou sur le pourtour de l’ovale formé par une anguillule, enroulée en boucle sur elle-même, queue en bouche : représentation habituelle de l’entité A-alpha ; l’orvet embryonnaire divin composé de 4 forces magnétiques, 3 électres électriques.

8 ème Appareillage

Appareillage 8

 

Le 8ème dispositif rituel Φ (phi) est un appareil d’induction bipolaire, induit par les éléments de A α (alpha) désarticulés, issus des 7 voies du delta, ou 4ème appareillage ; auxquels s’ajoutent, pour les renforcer les π (PI) du 5ème dispositif.
Ce 8ème élément fonctionne en attracteur de nouveaux  π (PI) amplificateur des courants.
L’enroulement spécial comprend des croissants –μεν- men en grec – en fer doux montés sur bande de cuir, perpendiculaires à l’axe hélicoïde d’enroulement (voir le visuel).
Cette forme du champ, est reprise avec des masses différentes, pour créer le zoaire – Héraclès – doué de la Vie et apte à purifier le corps humain. Pour mémoire, les 12 travaux de Hercule – Héraclès – ne sont que des maladies qu’il guérit. Les masses sont des clous de fer, à tête en tronc de pyramide, et à pointe en forme d’obélisque, en équilibre.

D’autres formes donneront des résultats différents; citons la « lancette », à pointe et méplat, recourbée en hameçon, montée comme les croissants, enfermée dan la cosse membraneuse, pourrait engendrer une lumière froide: la lumière phosphorescente.

Lettre de Louis Boutard (II)

Lettre du 8 avril 1955

1 — Pour refaire ou restaurer les cartilages vertébraux, à la fois souples et solides, il est nécessaire d’avoir du gruau d’épeautre (triticum spelta, Linné). Triticum (blé, froment broyé, trituré) spelta – σπελλτα − avec « bouclier » ou protection. Curieux froment très spécial, qu’on ne cultive plus beaucoup, parce qu’on ne cherche maintenant que le lucre marchand par rendement quantitatif intensif en farine féculente, sans se préoccuper des précieuses vertus propres, secrètes, irremplaçables, de ce dur froment, très particulier parce que ses glumelles – balles intérieures – sont tellement adhérentes au cariopse ou grain, précieusement « couvert par ce bouclier» qu’il faut un outillage spécial pour l’en dégager, le netter et le broyer, ce qui s’appelle épeautrer. Il est encore en usage toutefois dans le Nord : Hainaut, Belgique Wallonne, Ardennes. Il vous est donc possible de vous en procurer, coûte que coûte, soit par les maisons de régime, soit par des minotiers marchands, ou des syndicats de meunerie en relation avec leurs collègues spécialisés du Nord.

S’ils ne font plus que de la farine d’épeautre (anciennement espaute, épaute) et non plus du gruau, c’est-à-dire de gros grains farineux semblables à la grosse semoule de « blé dur » (Triticum durum, Linné), gruau dont on fait encore dans le Nord en Suisse et ailleurs, l’appétissante et nourrissante soupe au gruau, délaissée par l’imbécile mode bourgeoise, il faut se contenter d’avoir cette précieuse farine.

Extrait du livre page 427

Lettre de Mme Christiane Dumont

Extrait de la correspondance.

Au mois d’octobre 1946, le savant croyait encore qu’il pourrait exploiter ses découvertes. Le 16, il nous écrivait : « Je ne serai tranquille que le jour où je vous confierai Héraclès. Cet invincible expurgeur de pus vous sera réservé en tout premier lieu, s’il m’est donné de le faire renaître, comme il est en premier projet. Par une coïncidence vraiment étonnante, anormale du destin, je viens en effet de finir de déchiffrer jusque dans ses plus minutieux détails, les deux belles planches lithographiées – face et revers – de la fameuse « palette de Narmer » ; dans Introduction à l’étude des hiéroglyphes, de notre chère Christiane. Il s’agit non de palette, mais du célèbre Sakos de Héraclès : scutum Herculis, bouclier d’Hercule, la palette ayant d’ailleurs exactement la forme de l’écu – scutum : bouclier – ce qui aurait dû frapper l’attention. N-armer : du tout-puissant destructeur de maux, est simplement un des surnoms de Héraclès, dont le nom égyptien est dans un des deux petits écus du blason hiéroglyphique en haut à droite et à gauche de la face du Sakos. Le sac folliculaire (du latin saccus , sac lui-même avec peau, en peau, en pellicule, de asque, outo, sac de peau) ou massue — y est en première place d’honneur au sommet de la face et du revers de l’écu, avec le dispositif complet de la procréation par Alkmene. Iphiklès – gloire de la force I – le petit frère jumeau de Héraclès, y est à côté de lui, avec son arme propre (rhoptron au lieu de massue, avec, à côté de lui, sa forme réelle d’ anémone de mer microscopique. Quelles merveilles ! Quels merveilleux détails minutieux ! Les travaux représentés sont : Sur la face : 1 — ceux de Héraclès Georges (cultivateur, travailleurs de la Terre) donnant la fécondité et à la terre, dont le nom Thet, est en toutes lettres hiéroglyphiques à côté de sa figure. 2-la réduction du terrible stérilisant sexuel Taureau blanc de Crète (Halfa : irréductible chanvre sauvage) 3 – au milieu, sur le champ de face, les deux effrayants — chancre cancroïde – envoyés par Junon, pour étouffer à sa naissance Hercule –nothus, bâtard – et étranglés, jugulés, l’un par Iphiklès enfant, l’autre par Héraclès enfant. (Tête noire crépue fils des atomes S,C noirs) Sur le revers : 1 – la destruction du lion de Némée – cancer – dont la tête est assommée d’un coup de massue, avec le nom adjacent en toutes lettres hiéroglyphiques (le terrible Lion) 2 – la destruction de L’Hydre de Lerne (fièvre paludéenne) ; anguillule trypanosome dont le détail de procréation par un moustique est exactement gravé, avec l’anguillule pathogène de la fièvre paludéenne. 3 – poursuites en déroute des centaures larvaires pathogènes de toute putréfaction avec l’épigraphie : pus, putréfaction – en artistiques lettres grecques antiques et anciennes lettres hiéroglyphiques, comme sur la fameuse frise du Parthénon. Travaux primordiaux pour l’Égypte, comme vous l’observerez. Les malheureux Égyptologues et autres pions, cherchaient dans cette palette inexplicable et indéchiffrée, en des dessins des indigènes primitifs, les premiers tâtonnements de signe d’écriture de l’homme bête prenant conscience de lui-même – sic !–. Vous vous régalerez d’un rire sarcastique incoercible ! Vous devinez quel effet de tremblement de terre, quand il leur sera démontré quelle langue corrompue jusqu’à l’informe représentait la langue des hiéroglyphes, et quelle immense, stupéfiante Science antérieure de siècles innombrables elle recelait, d’ intelligences incommensurablement supérieures aux prétentieux pauvres d’esprit qui ont l’outrecuidance de se croire quelque chose et d’émettre de pareilles niaiseries d’ ignares. Aussi, dès que ces Prolégomènes seront terminés, je les déposerai à l’Institut. Ce sera cette fois mon entrée en matière. C’est donc encore de La Haye que partira le nouveau Discours sur la Méthode, et de la maison Jean Dumont au bord du quai de la Creuse. »

 

Lettre de Louis Boutard

Destinataires : Mme & M. Dumont

janvier 1943

C’est ainsi que je vais faire exécuter par un habile tourneur sur bois – le seul à Cannes – un grec ! La « forme mathématique ou étonnante columelle d’enroulement –la « colonne » architecturale – columna, co-lumina : avec les lumières ; pluriel neutre du singulier co-lumen, co-luminis ; qui constitue le « champ de forces» fatidique de tous les appareils d’induction électromagnétique, exactement représentée par le plan de l’église romane avec chœur ou coupole en « cul de four » expliquant la fameuse glose inexplicable de Papias :

Forma-s-choro ; opus pistorium- : forme avec chœur, engin de pilonnage : pilon et son mortier.

Cet appareil fondamental, un des premiers de la longue et multiple série, interdépendants, que j’ai reconstitué, je me dispose, en effet, à le construire, non plus en réduction, mais en la grandeur qu’il doit avoir, grâce aux 3000 éléments que m’a préparés et parfaits lui-même, depuis trois ans, de ses propres mains et outillages, avec une science technique admirable, mon collaborateur enthousiaste depuis 19 ans, aussi probe que discret, M. l’ingénieur Hatinguais, mari de Mme Hatinguais nommée, depuis le désastre, directrice de l’Ecole normale supérieure de Sèvres – 3000 pièces de minutieuse précision – gramma ou scrupule en poids de l’Antiquité — dont l’étymologie étrange est par-là dévoilée –que cet ami, tout dévoué lui aussi, a pu m’apporter lui-même à Noël dernier, toutes montées sur mandrin.

Tout le corps de doctrine expérimentale est reconstitué et presque tout consigné tout au long dans un Mémoire ; l’œuvre entreprise est donc immense, et immense l’Idéal.

Seule susceptible de rénover l’esprit des hommes, elle peut avoir d’incalculables conséquences spirituelles et matérielles, politiques, économiques et sociales. Elle démontre que seule la forme de gouvernement universel théocratique ou hiératique,, d’hommes religieux détenteurs de la vraie science, de la Vérité, non plus affirmée comme Mystère, mais démontrée, se substituant aussi bien à la Ploutocratie, qu’à l’Ochlocratie ou Démagogie, est susceptible de redonner au monde, cet Âge d’Or, de bonheur humainement possible, de Vérité, de Justice et de Paix, que fut celui de L’Antiquité sacrée universelle – paix des Peuples et paix des âmes : l’éternelle consolation. Sur ces paroles réconfortantes de Foi, d’Amour et d’Espérance, merci à vous… »

Extrait du livre page 314-315

L’a-éther de Louis Boutard

L’a-éther de Louis Boutard se compose de points magnéto-électriques ou bi-couples magnétiques   soudés, neutres d’influx, qui tendent à se mettre en croix sous l’influence du choc ou mouvement vibratoire.Cette monade, neutre en état de quiétude, vibre et se met en croix, sous l’influence du choc.Mais en s’opposant en effort d’énergie dynamique au mouvement de désunion, il résulte deux rayons ou courants d’énergie « électrique » opposés.

On relève que le signe de la croix orthodoxe restitue, sur le plan vertical, l’axe zénith nadir des parties magnétiques I.S. centripètes, dextres, de Louis Boutard. Puis, sur le plan horizontal, la main de droite à gauche : l’axe horizontal des parties magnétiques R.O. centrifuges, senestres, en équilibre dans la monade neutre d’a-ether de Louis Boutard.  Nous sommes en équilibre ! Car chaque point, si petit que l’on peut le concevoir “ baigne ” dans l’océan universel magnéto-électrique éthérique. De même, dans la gnose chrétienne cette fois, le signe de la bénédiction vu par le fidèle : réminiscence du symbolique, sans doute devenu inconscient au fil des siècles !

5 ème Appareillage

source de l’image

Un village a conservé un monument gallo-romain, trace, signe de cet appareil : Cinq Mars la Pile, en Touraine. On y voit une tour carrée avec des cornières couronnement exertes.

Equipement  π (PI)     Pile cinq mars.
En grec : Anè ; pi-ente constitue le 5ème dispositif rituel, pour achèvement, perfection, pouvoir efficace.
L’accomplissement, à résultat pratique, se fait par l’intervention fortifiante, des π (PI) dextres, π (PI) senestres, sur les angles saillants du fer (non aimanté) de la corniche trigone ou tétragone.
Corniche « couronnement » de la Tour ; Hèrmès, le mercure est le conducteur de l’écoulement fluide des pi, déversé des cornières de fer dans le courant des ∑ Υ (epsilon, upsilon).
Puissance réutilisée dans le 7ème et le 8ème dispositif.

Des hiéroglyphes aux dernières découvertes sur l’énergie

Des hiéroglyphes aux dernières découvertes sur l’énergie

La Z-machine de Los Alamos atteint des milliards de degrés – plus que le cœur du soleil ! – et l’on avoue ne pas savoir d’où vient le supplément de puissance suite à l’injection de millions d’ampères en quelques nano-secondes.

Lisons simplement l’étude du “ Kairos ” dans un extrait des écrits de Louis Boutard.

Δεκα Latin Decem ; gothique : taihum, All zehn,
Angaisl : Ten
Sanscrit : Daçan Maya dit Lahun
Breton : Dék

Δεκα δε δεΩ = lier, enfermer enchaîner par sortilèges.
καιροσ d’où l’Espagnol Zéro et Portugais Cero = heureuse rencontre, occasion favorable, juste mesure.

κεροδεκα, Τοξα (selon Hesychios de Milet le grand lexicologue) = zero dix ; arc et flèche.

καιροϑεουσι… προ.τρεκουσιν : Elles courent au Kairos, elles y prennent puissance maîtresse. E, Υ (epsilon, upsilon), parties « électriques » (= tension, voltage), nues, – psilai- séparées de leurs parèdres magnétiques.

De même pour les π (PI) dextres, senestres, (doubles monades ) induits sur le kairo-deka : maîtres en puissance attirés par le fer, lui-même « excité », dont les parties magnétiques induisantes attirent les monades de l’éther, par le courant inducteur.

— M.Z   M.DJ   dessin en forme de cintre [1] figure et écrit 10 – 10ème en hiéroglyphie Aigyptienne = forme de l’électro-aimant.

 

M’B’, formé de 3 cintres figure et écrit 30 = 3 x 10 lu  Mâ. Ba

Bâ est le signe de la lettre B (β  B)  3ème lettre de l’alphabet  premier (= signe originel   chiffre du nombre 3ème) α, γ, β : l’alphagamme d’origine et forme écrite du nombre 3.

En Annamite trois, 3, 3ème  se dit Ba.
Universalité de cette information (multiples autres exemples chez Louis Boutard)

Cintres = 4 x 10 = 40, etc.

Le cintre, instrument ; dispositif 10ème de la série rituelle explicité par le caractère hiéroglyphique

Fer cintré en arc de voûte, aimant à deux branches, traversé par un barreau interpolaire, croisé par les flèches E, Υ (Epsilon, Upsilon) empennées cette fois = chargées de courant issu de l’appareillage Φ (phi) 8ème : amplificateur)

Δεκανοσ / latin : decanus ; Français : doyen,  Anglais : dean, le dan, Maître en puissance.
Breton : Dan ar bras, le grand

Électro-aimant pour procréations spéciales (comme bactéries de fermentations)  avec ses branches de  fer, ses enroulements électriques chargés magnétiquement captaient les points magnéto-électriques de l’atmosphère induits sur le fer : π (PI) dextres, senestres et  destinés à créer du vivant par recombinaison avec la partie électrique sur matière choisie]. Cet induit  pouvait être relié au courant inducteur.

Kairos signifie : juste mesure; mesure convenable.
Car un excès dans la déstabilisation des points (les alpha) magnéto-électriques occasionne un danger. Ce qui nous conduit à la Z-Machine.

La Z Machine

La Z-machine [2]  utilise l’eau pure comme isolant dans d’énormes condensateurs – Or E; U,  (epsilonn; upsilonn = e, u, pures) : désignent les forces purement « électriques » – cf. figurées par les flèches ci-dessus – (= tensions) que Louis Boutard conservait  en stase dans l’eau « pure » ! cf. Dame Jeanne ; aryballe  à l’abri de la lumière, d’où le clissage en bois.

Ceci a pu se passer dans la Z-machine: une partie de la « tension » – voltage – a pu induire et demeurer en stase dans la masse d’eau (pure)des condensateurs géants; d’autre part ils ont, à la fin, utilisé de l’acier pour recevoir les millions d’ampères et former le plasma ; or le fer capte la force « R »partie « magnétique » – le plus fort des 4 : I, S, R, O = OSIR-is – de alpha-tome

(= a-tome ; point magnéto-électrique, monade neutre au repos : le constituant de l’a-ether) qui vient ajouter de l’énergie puisée dans le milieu ambiant (cf. les éclairs et arcs sur le fer des parties métalliques). Ont-ils lu Louis Boutard ?

Surtout, suite au choc d’une violence inouïe (cf. les millions d’ampères en quelques nano-secondes) il y a décomposition des points magnéto-électriques ambiants : les parties magnétiques (dont l’  « atome de force R : Φερο / fer r um = porte R) sont attirées par les masses métalliques environnantes et créent d’impressionnants « arcs électriques sur les structures métalliques du hangar» : les séparations des éléments, ou gouttes électriques font des étincelles – cf. Louis Boutard : l’étincelle “ électrique ” du fer à cheval sur le silex. Le fer repousse SI, σιδεροσ  / breton derh = résiste, repousse ! une seule langue originaire, celle de la gnose dorienne / la silice attire SI, si –lacio .

L’a-ether est dissocié en ses éléments qui viennent renforcer localement le phénomène où l’induction se renforce encore par les deux tendances centripètes libérées IS (forces de Laplace ?) – déplacement dans un champ magnétique – et comme le courant « inducteur » arrive encore (un peu ! quelques nano secondes), lui-même est amplifié par ce courant induit qui en est donc encore renforcé. La voilà donc cette énergie d’une source inconnue !

Le plasma serait un état de non matière : concentré magnéto-électrique provoqué puis auto-engendré. Ce plasma cherche à se dissiper en monades neutres dans l’a-ether local. Une foudre en boule très puissante. Heureusement que cela ne dure que quelques nano secondes.

P M : Mêmes remarques et précautions, pour la bobine d’induction — Le danger signalé par la thèse de Huet — polytechnicien pour qui on ne pouvait modéliser la Z-machine.

Réminiscences : — phascis — fascis du grec : Φ.ασχισ = s’adjoindre, fascia, fascis = le faix : avec hache d’acier centrale ;  le faisceau du licteur : symbole de puissance.

Fascinare (cf. ancien français : faisser) : fasciner, magnétiser , ensorceler.

Φ.αγοστοσ : (αγκ = serré, cf. angustus, angoisse), ici fagot vibrant en bourdon comme les bobines d’induction (faggoto = basson musical).


[ 1 ]  Lexique hiéroglyphique, Roger Lambert, librairie orientaliste-Paul Geuthner, 1925.
[ 2 ]  Référence en ligne.