Abraxas – Αβρασσαξ

Les 2 abraxas du visuel ci-dessus font partie d’un ensemble considérable que Louis Boutard a déchiffré et utilisé pour la mise au point de ses appareillages. Seul un maître en « épigraphie comparée » a pu lire et mettre à la portée de tous ce qui était considéré comme de simples amulettes.

Les graveurs archaïques oeuvraient sur les dessins et textes de prêtres « hiérogrammates », mais ils ignoraient la nature , la valeur et le sens de ces dessins et textes; de ce fait très souvent altérés et déformés : cause d’erreurs aggravées de copie en copie au fil des âges.

Pierres gravées, camées, amulettes, avec épigraphies, zoographies et personnages symboliques, dessinés généralement dans le cadres d’un cercle ovale, ou sur le pourtour de l’ovale formé par une anguillule, enroulée en boucle sur elle-même, queue en bouche : représentation habituelle de l’entité A-alpha ; l’orvet embryonnaire divin composé de 4 forces magnétiques, 3 électres électriques.

Louis Boutard et la science contemporaine

Avec ce livre, dans les pas de Louis Boutard, le lecteur sera à même de dialoguer avec des savants actuels.

La réalité des choses se trouve dans les interactions et non dans les objets. (…)
Ce ne sont pas les notes mais les intervalles entre les notes, autrement dit les “vides” qui font que nous reconnaissons la mélodie.
Marc Henry [1]

Lire la suite

Le Fer

Le fer, même non acéré, (sans inclusion de carbone, lequel absorbe tous les
flux « A.tomiques » au sens de « sections, parties de l’entité A,a »), le fer doux
(lat. ferrum, fer.R.um, de fero R, « porter R ») est un catalyseur de l’article R
de A,a lequel (R, r) attire à son tour les π (PI) sur le métal (qui « prend » les
entités π (PI), formées de deux A,a joints, « A duo capit conctos », accolés
longitudinalement (en une nouvelle entité π (PI) spéciale, très importante, cause
de la propriété aimantique) mais sans les y retenir à demeure, comme le fait le
carbone de l’acier des aimants permanents ; le fer doux acquiert ainsi, sans
aimantation, le magnétisme bipolaire que nous avons signalé et qui n’est
qu’éphémère, entretenu seulement du fait du maintien de la position stable
indiquée de la barre ou de l’équerre suspendues.
Le nom grec du fer, SI.dêro/j  de sidêros/w « lutter, repousser ».
J’ajoute le breton dèrh ? résister, tenir le coup.
« Lutte, répulsion » dénonce que le fer pur repousse par contre les articles SI,
SI = Γ (Gamma) de A,a ce qui expliquerait les étincelles jaillissant du contact brusque
du fer (du sabot de cheval) sur le pavé de silex (de SI.lacio « attraire SI »)
attracteur donc des mêmes articles SI = Γ (Gamma) de A,a véritables étincelles
électriques, issues de la rupture des monades A,a ambiantes, scindées en
SI = Γ (Gamma), d’une part (repoussés du fer et attirés par le silex) et RO = β (Bêta)
d’autre part (attirés par le fer). À la faveur de cette scission, les élèctres
E,e (+) des articles Γ (Gamma), et Υ (Upsilon) (-) des articles β (Bêta) se libèrent (attirées
par les π (PI) présents à cet instant sur le fer) pour se réunir en EU, eu avec
l’apparence des étincelles qui jaillissent entre les pôles (+) et (-) des
condensateurs d’électricités vitrées résineuses dites positives et négatives.