1950-52 Déchiffre la Table Isiaque(Synthèse synoptique de toute la doctrine des
Mystères Delphiques) – gravure sur bronze visible au Musée de Turin.
Confirmation magistrale des abraxas de gnose dorienne sur
la preuve du passage des signes-lettres kadméens (grecs)aux hiérogtyphes…
1951 Les Dumont à Cannes
Autres preuves dans le lexique d’Hésukhios
Expériences avec le Delta (4ème appareil)
Crises cardiaques.
1952 M. Hatinguais continue les travaux à Sèvres (création de la manne devant M. et Mme Dumont)
1953 Vase de Vic : « Un de ces ignares ne professe-t-il pas que le bronze gaulois était impur !(quel est le critérium de la pureté du bronze ?) parce qu’il contient outre le cuivre rouge et l’étain, du plomb, du zinc et même de l’arsenic… C’est justement là le critérium du bronze authentiquement théurgique ; alliage nécessaire en kilhatos (d’où le calathus coiffant Sérapis et le chapiteau de la colonne grecque) de ces 4 métaux principaux auxquels on peut ajouter le molybdène et l’amalgame de mercure. »
1954 Nouvel accès du second ulcère.
Avec M. Hatinguais, prépare les chromules atomiques colorés et colorants.
Lucidité : « J’achève de vivre dans l’indicible douleur de ne jamais voir se réaliser le but idéal et passionné de toute ma vie d’abnégation. Après mon décès nul n’est en mesure de continuer l’œuvre. »
1955 Précisions sur la farine sans meule et les dialyses – hydrolises pour une nourriture
spécifique du cerveau. L’épeautre pour les cartilages, l’oseille, fines graminées (égyptien : kullastais : pâte de froment spéciale pour membre courbé (s-kollo + stais : redressé) «breton : kullasten: gros sac de farine de blé))
Août:les Dumont à Champfleuri hospitalisé: pied droit
5 Novembre : décès de sa sœur Marie.
1956 Conseils sur les germes vivants, gui du chêne, les légumineuses.
Novembre: réouverture de l’ulcère.Intervention des Hatinguais.
1957 Pâques : visite des Dumont “ l’Etoile salutaire ’’ Il dédie ses Prolégomènes à Hélène Vagliano, résistante tuée. M. et Mme Vagliano lui avaient aménagé les communs de leur villa Champfleuri à Cannes – La Californie.
Louis Boutard commence à perdre la vue.
1958 Écrit à tâtons sur les dialyses, pois chiche: valeur nourricière trophime: inestimable.
Dernière lettre 27 janvier 1958, il décède le 8 avril.
Louis Boutard travaillait six heures dans la solitude, et consacrait dix à douze à perfectionner, principalement avec M. Hatinguais.
M. Hatinguais hérite de la précieuse bibliothèque qu’il déposera à la Bibliothèque Nationale de Paris : Avec Louis Boutard, retour aux Sources Méconnues (Dépôt légal … N°8502 Juin 1960).