8 ème Appareillage

Appareillage 8

 

Le 8ème dispositif rituel Φ (phi) est un appareil d’induction bipolaire, induit par les éléments de A α (alpha) désarticulés, issus des 7 voies du delta, ou 4ème appareillage ; auxquels s’ajoutent, pour les renforcer les π (PI) du 5ème dispositif.
Ce 8ème élément fonctionne en attracteur de nouveaux  π (PI) amplificateur des courants.
L’enroulement spécial comprend des croissants –μεν- men en grec – en fer doux montés sur bande de cuir, perpendiculaires à l’axe hélicoïde d’enroulement (voir le visuel).
Cette forme du champ, est reprise avec des masses différentes, pour créer le zoaire – Héraclès – doué de la Vie et apte à purifier le corps humain. Pour mémoire, les 12 travaux de Hercule – Héraclès – ne sont que des maladies qu’il guérit. Les masses sont des clous de fer, à tête en tronc de pyramide, et à pointe en forme d’obélisque, en équilibre.

D’autres formes donneront des résultats différents; citons la « lancette », à pointe et méplat, recourbée en hameçon, montée comme les croissants, enfermée dan la cosse membraneuse, pourrait engendrer une lumière froide: la lumière phosphorescente.

L’a-éther de Louis Boutard

L’a-éther de Louis Boutard se compose de points magnéto-électriques ou bi-couples magnétiques   soudés, neutres d’influx, qui tendent à se mettre en croix sous l’influence du choc ou mouvement vibratoire.Cette monade, neutre en état de quiétude, vibre et se met en croix, sous l’influence du choc.Mais en s’opposant en effort d’énergie dynamique au mouvement de désunion, il résulte deux rayons ou courants d’énergie « électrique » opposés.

On relève que le signe de la croix orthodoxe restitue, sur le plan vertical, l’axe zénith nadir des parties magnétiques I.S. centripètes, dextres, de Louis Boutard. Puis, sur le plan horizontal, la main de droite à gauche : l’axe horizontal des parties magnétiques R.O. centrifuges, senestres, en équilibre dans la monade neutre d’a-ether de Louis Boutard.  Nous sommes en équilibre ! Car chaque point, si petit que l’on peut le concevoir “ baigne ” dans l’océan universel magnéto-électrique éthérique. De même, dans la gnose chrétienne cette fois, le signe de la bénédiction vu par le fidèle : réminiscence du symbolique, sans doute devenu inconscient au fil des siècles !

Des hiéroglyphes aux dernières découvertes sur l’énergie

Des hiéroglyphes aux dernières découvertes sur l’énergie

La Z-machine de Los Alamos atteint des milliards de degrés – plus que le cœur du soleil ! – et l’on avoue ne pas savoir d’où vient le supplément de puissance suite à l’injection de millions d’ampères en quelques nano-secondes.

Lisons simplement l’étude du “ Kairos ” dans un extrait des écrits de Louis Boutard.

Δεκα Latin Decem ; gothique : taihum, All zehn,
Angaisl : Ten
Sanscrit : Daçan Maya dit Lahun
Breton : Dék

Δεκα δε δεΩ = lier, enfermer enchaîner par sortilèges.
καιροσ d’où l’Espagnol Zéro et Portugais Cero = heureuse rencontre, occasion favorable, juste mesure.

κεροδεκα, Τοξα (selon Hesychios de Milet le grand lexicologue) = zero dix ; arc et flèche.

καιροϑεουσι… προ.τρεκουσιν : Elles courent au Kairos, elles y prennent puissance maîtresse. E, Υ (epsilon, upsilon), parties « électriques » (= tension, voltage), nues, – psilai- séparées de leurs parèdres magnétiques.

De même pour les π (PI) dextres, senestres, (doubles monades ) induits sur le kairo-deka : maîtres en puissance attirés par le fer, lui-même « excité », dont les parties magnétiques induisantes attirent les monades de l’éther, par le courant inducteur.

— M.Z   M.DJ   dessin en forme de cintre [1] figure et écrit 10 – 10ème en hiéroglyphie Aigyptienne = forme de l’électro-aimant.

 

M’B’, formé de 3 cintres figure et écrit 30 = 3 x 10 lu  Mâ. Ba

Bâ est le signe de la lettre B (β  B)  3ème lettre de l’alphabet  premier (= signe originel   chiffre du nombre 3ème) α, γ, β : l’alphagamme d’origine et forme écrite du nombre 3.

En Annamite trois, 3, 3ème  se dit Ba.
Universalité de cette information (multiples autres exemples chez Louis Boutard)

Cintres = 4 x 10 = 40, etc.

Le cintre, instrument ; dispositif 10ème de la série rituelle explicité par le caractère hiéroglyphique

Fer cintré en arc de voûte, aimant à deux branches, traversé par un barreau interpolaire, croisé par les flèches E, Υ (Epsilon, Upsilon) empennées cette fois = chargées de courant issu de l’appareillage Φ (phi) 8ème : amplificateur)

Δεκανοσ / latin : decanus ; Français : doyen,  Anglais : dean, le dan, Maître en puissance.
Breton : Dan ar bras, le grand

Électro-aimant pour procréations spéciales (comme bactéries de fermentations)  avec ses branches de  fer, ses enroulements électriques chargés magnétiquement captaient les points magnéto-électriques de l’atmosphère induits sur le fer : π (PI) dextres, senestres et  destinés à créer du vivant par recombinaison avec la partie électrique sur matière choisie]. Cet induit  pouvait être relié au courant inducteur.

Kairos signifie : juste mesure; mesure convenable.
Car un excès dans la déstabilisation des points (les alpha) magnéto-électriques occasionne un danger. Ce qui nous conduit à la Z-Machine.

La Z Machine

La Z-machine [2]  utilise l’eau pure comme isolant dans d’énormes condensateurs – Or E; U,  (epsilonn; upsilonn = e, u, pures) : désignent les forces purement « électriques » – cf. figurées par les flèches ci-dessus – (= tensions) que Louis Boutard conservait  en stase dans l’eau « pure » ! cf. Dame Jeanne ; aryballe  à l’abri de la lumière, d’où le clissage en bois.

Ceci a pu se passer dans la Z-machine: une partie de la « tension » – voltage – a pu induire et demeurer en stase dans la masse d’eau (pure)des condensateurs géants; d’autre part ils ont, à la fin, utilisé de l’acier pour recevoir les millions d’ampères et former le plasma ; or le fer capte la force « R »partie « magnétique » – le plus fort des 4 : I, S, R, O = OSIR-is – de alpha-tome

(= a-tome ; point magnéto-électrique, monade neutre au repos : le constituant de l’a-ether) qui vient ajouter de l’énergie puisée dans le milieu ambiant (cf. les éclairs et arcs sur le fer des parties métalliques). Ont-ils lu Louis Boutard ?

Surtout, suite au choc d’une violence inouïe (cf. les millions d’ampères en quelques nano-secondes) il y a décomposition des points magnéto-électriques ambiants : les parties magnétiques (dont l’  « atome de force R : Φερο / fer r um = porte R) sont attirées par les masses métalliques environnantes et créent d’impressionnants « arcs électriques sur les structures métalliques du hangar» : les séparations des éléments, ou gouttes électriques font des étincelles – cf. Louis Boutard : l’étincelle “ électrique ” du fer à cheval sur le silex. Le fer repousse SI, σιδεροσ  / breton derh = résiste, repousse ! une seule langue originaire, celle de la gnose dorienne / la silice attire SI, si –lacio .

L’a-ether est dissocié en ses éléments qui viennent renforcer localement le phénomène où l’induction se renforce encore par les deux tendances centripètes libérées IS (forces de Laplace ?) – déplacement dans un champ magnétique – et comme le courant « inducteur » arrive encore (un peu ! quelques nano secondes), lui-même est amplifié par ce courant induit qui en est donc encore renforcé. La voilà donc cette énergie d’une source inconnue !

Le plasma serait un état de non matière : concentré magnéto-électrique provoqué puis auto-engendré. Ce plasma cherche à se dissiper en monades neutres dans l’a-ether local. Une foudre en boule très puissante. Heureusement que cela ne dure que quelques nano secondes.

P M : Mêmes remarques et précautions, pour la bobine d’induction — Le danger signalé par la thèse de Huet — polytechnicien pour qui on ne pouvait modéliser la Z-machine.

Réminiscences : — phascis — fascis du grec : Φ.ασχισ = s’adjoindre, fascia, fascis = le faix : avec hache d’acier centrale ;  le faisceau du licteur : symbole de puissance.

Fascinare (cf. ancien français : faisser) : fasciner, magnétiser , ensorceler.

Φ.αγοστοσ : (αγκ = serré, cf. angustus, angoisse), ici fagot vibrant en bourdon comme les bobines d’induction (faggoto = basson musical).


[ 1 ]  Lexique hiéroglyphique, Roger Lambert, librairie orientaliste-Paul Geuthner, 1925.
[ 2 ]  Référence en ligne.

Biographie de Louis Boutard

1950-52 Déchiffre la Table Isiaque(Synthèse synoptique de toute la doctrine des
Mystères Delphiques) – gravure sur bronze visible au Musée de Turin.
Confirmation magistrale des abraxas de gnose dorienne sur
la preuve du passage des signes-lettres kadméens (grecs)aux hiérogtyphes…
1951 Les Dumont à Cannes
Autres preuves dans le lexique d’Hésukhios
Expériences avec le Delta (4ème appareil)
Crises cardiaques.
1952 M. Hatinguais continue les travaux à Sèvres (création de la manne devant M. et Mme Dumont)
1953 Vase de Vic : « Un de ces ignares ne professe-t-il pas que le bronze gaulois était impur !(quel est le critérium de la pureté du bronze ?) parce qu’il contient outre le cuivre rouge et l’étain, du plomb, du zinc et même de l’arsenic… C’est justement là le critérium du bronze authentiquement théurgique ; alliage nécessaire en kilhatos (d’où le calathus coiffant Sérapis et le chapiteau de la colonne grecque) de ces 4 métaux principaux auxquels on peut ajouter le molybdène et l’amalgame de mercure. »
1954 Nouvel accès du second ulcère.
Avec M. Hatinguais, prépare les chromules atomiques colorés et colorants.
Lucidité : « J’achève de vivre dans l’indicible douleur de ne jamais voir se réaliser le but idéal et passionné de toute ma vie d’abnégation. Après mon décès nul n’est en mesure de continuer l’œuvre. »
1955 Précisions sur la farine sans meule et les dialyses – hydrolises pour une nourriture
spécifique du cerveau. L’épeautre pour les cartilages, l’oseille, fines graminées (égyptien : kullastais : pâte de froment spéciale pour membre courbé (s-kollo + stais : redressé) «breton : kullasten: gros sac de farine de blé))
Août:les Dumont à Champfleuri hospitalisé: pied droit
5 Novembre : décès de sa sœur Marie.
1956 Conseils sur les germes vivants, gui du chêne, les légumineuses.
Novembre: réouverture de l’ulcère.Intervention des Hatinguais.
1957 Pâques : visite des Dumont “ l’Etoile salutaire ’’  Il dédie ses Prolégomènes à Hélène Vagliano, résistante tuée. M. et Mme Vagliano lui avaient aménagé les communs de leur villa Champfleuri à Cannes – La Californie.
Louis Boutard commence à perdre la vue.
1958 Écrit à tâtons sur les dialyses, pois chiche: valeur nourricière trophime: inestimable.
Dernière lettre 27 janvier 1958, il décède le 8 avril.
Louis Boutard travaillait six heures dans la solitude, et consacrait dix à douze à perfectionner, principalement avec M. Hatinguais.
M. Hatinguais hérite de la précieuse bibliothèque qu’il déposera à la Bibliothèque Nationale de Paris : Avec Louis Boutard, retour aux Sources Méconnues (Dépôt légal … N°8502 Juin 1960).