Des hiéroglyphes aux dernières découvertes sur l’énergie
La Z-machine de Los Alamos atteint des milliards de degrés – plus que le cœur du soleil ! – et l’on avoue ne pas savoir d’où vient le supplément de puissance suite à l’injection de millions d’ampères en quelques nano-secondes.
Lisons simplement l’étude du “ Kairos ” dans un extrait des écrits de Louis Boutard.
Δεκα Latin Decem ; gothique : taihum, All zehn,
Angaisl : Ten
Sanscrit : Daçan Maya dit Lahun
Breton : Dék
Δεκα δε δεΩ = lier, enfermer enchaîner par sortilèges.
καιροσ d’où l’Espagnol Zéro et Portugais Cero = heureuse rencontre, occasion favorable, juste mesure.
κεροδεκα, Τοξα (selon Hesychios de Milet le grand lexicologue) = zero dix ; arc et flèche.
καιροϑεουσι… προ.τρεκουσιν : Elles courent au Kairos, elles y prennent puissance maîtresse. E, Υ (epsilon, upsilon), parties « électriques » (= tension, voltage), nues, – psilai- séparées de leurs parèdres magnétiques.
De même pour les π (PI) dextres, senestres, (doubles monades ) induits sur le kairo-deka : maîtres en puissance attirés par le fer, lui-même « excité », dont les parties magnétiques induisantes attirent les monades de l’éther, par le courant inducteur.
— M.Z M.DJ dessin en forme de cintre [1] figure et écrit 10 – 10ème en hiéroglyphie Aigyptienne = forme de l’électro-aimant.
M’B’, formé de 3 cintres figure et écrit 30 = 3 x 10 lu Mâ. Ba
Bâ est le signe de la lettre B (β B) 3ème lettre de l’alphabet premier (= signe originel chiffre du nombre 3ème) α, γ, β : l’alphagamme d’origine et forme écrite du nombre 3.
En Annamite trois, 3, 3ème se dit Ba.
Universalité de cette information (multiples autres exemples chez Louis Boutard)
Cintres = 4 x 10 = 40, etc.
Le cintre, instrument ; dispositif 10ème de la série rituelle explicité par le caractère hiéroglyphique
Fer cintré en arc de voûte, aimant à deux branches, traversé par un barreau interpolaire, croisé par les flèches E, Υ (Epsilon, Upsilon) empennées cette fois = chargées de courant issu de l’appareillage Φ (phi) 8ème : amplificateur)
Δεκανοσ / latin : decanus ; Français : doyen, Anglais : dean, le dan, Maître en puissance.
Breton : Dan ar bras, le grand
Électro-aimant pour procréations spéciales (comme bactéries de fermentations) avec ses branches de fer, ses enroulements électriques chargés magnétiquement captaient les points magnéto-électriques de l’atmosphère induits sur le fer : π (PI) dextres, senestres et destinés à créer du vivant par recombinaison avec la partie électrique sur matière choisie]. Cet induit pouvait être relié au courant inducteur.
Kairos signifie : juste mesure; mesure convenable.
Car un excès dans la déstabilisation des points (les alpha) magnéto-électriques occasionne un danger. Ce qui nous conduit à la Z-Machine.
La Z Machine
La Z-machine [2] utilise l’eau pure comme isolant dans d’énormes condensateurs – Or E; U, (epsilonn; upsilonn = e, u, pures) : désignent les forces purement « électriques » – cf. figurées par les flèches ci-dessus – (= tensions) que Louis Boutard conservait en stase dans l’eau « pure » ! cf. Dame Jeanne ; aryballe à l’abri de la lumière, d’où le clissage en bois.
Ceci a pu se passer dans la Z-machine: une partie de la « tension » – voltage – a pu induire et demeurer en stase dans la masse d’eau (pure)des condensateurs géants; d’autre part ils ont, à la fin, utilisé de l’acier pour recevoir les millions d’ampères et former le plasma ; or le fer capte la force « R »partie « magnétique » – le plus fort des 4 : I, S, R, O = OSIR-is – de alpha-tome
(= a-tome ; point magnéto-électrique, monade neutre au repos : le constituant de l’a-ether) qui vient ajouter de l’énergie puisée dans le milieu ambiant (cf. les éclairs et arcs sur le fer des parties métalliques). Ont-ils lu Louis Boutard ?
Surtout, suite au choc d’une violence inouïe (cf. les millions d’ampères en quelques nano-secondes) il y a décomposition des points magnéto-électriques ambiants : les parties magnétiques (dont l’ « atome de force R : Φερο / fer r um = porte R) sont attirées par les masses métalliques environnantes et créent d’impressionnants « arcs électriques sur les structures métalliques du hangar» : les séparations des éléments, ou gouttes électriques font des étincelles – cf. Louis Boutard : l’étincelle “ électrique ” du fer à cheval sur le silex. Le fer repousse SI, σιδεροσ / breton derh = résiste, repousse ! une seule langue originaire, celle de la gnose dorienne / la silice attire SI, si –lacio .
L’a-ether est dissocié en ses éléments qui viennent renforcer localement le phénomène où l’induction se renforce encore par les deux tendances centripètes libérées IS (forces de Laplace ?) – déplacement dans un champ magnétique – et comme le courant « inducteur » arrive encore (un peu ! quelques nano secondes), lui-même est amplifié par ce courant induit qui en est donc encore renforcé. La voilà donc cette énergie d’une source inconnue !
Le plasma serait un état de non matière : concentré magnéto-électrique provoqué puis auto-engendré. Ce plasma cherche à se dissiper en monades neutres dans l’a-ether local. Une foudre en boule très puissante. Heureusement que cela ne dure que quelques nano secondes.
P M : Mêmes remarques et précautions, pour la bobine d’induction — Le danger signalé par la thèse de Huet — polytechnicien pour qui on ne pouvait modéliser la Z-machine.
Réminiscences : — phascis — fascis du grec : Φ.ασχισ = s’adjoindre, fascia, fascis = le faix : avec hache d’acier centrale ; le faisceau du licteur : symbole de puissance.
— Fascinare (cf. ancien français : faisser) : fasciner, magnétiser , ensorceler.
— Φ.αγοστοσ : (αγκ = serré, cf. angustus, angoisse), ici fagot vibrant en bourdon comme les bobines d’induction (faggoto = basson musical).
[ 1 ] Lexique hiéroglyphique, Roger Lambert, librairie orientaliste-Paul Geuthner, 1925.
[ 2 ] Référence en ligne.