La vie spirituelle n’est qu’une émanation d’une existence dans l’Invisible,
Des mêmes forces spirituelles, sous une autre forme…
De même que la nature originelle de l’esprit, en sa lumineuse conscience,
Transcende les états conventionnels du monde vécu,
De même le substrat et la source,
Est composé de monades magnéto-électriques
Qui transcendent les états manifestés de la matière ordinaire.
Si bien que toutes les langues du monde,
Les religions, les mythes, les monuments, constituent un corpus sémantique
Où les relations entre les mots, les notions essentielles :
Dieu, l’origine de la Vie, les cosmogonies,
Offrent une voie directe d’appréhension de ces forces de l’Invisible…
Dès lors qu’on abandonne les sens communs, vulgarisés,
Pour se projeter dans les visions sur-éminentes de ces strates sémantiques,
pour les comparer, en les approfondissant l’une par l’autre ;
On redécouvre alors pas à pas ces forces de l’Invisible
Qui créent sans cesse le jaillissement perpétuel du Vivant.
Ainsi un cerveau entièrement voué à cela a pu les mettre en évidence,
Les expérimenter en des appareillages adaptés,
Pour recréer enfin la science transcendante du Vivant,
Réalisant le véritable destin de l’homme, divin en soi…
Entrez dans le monde de Louis Boutard, ouvrez la porte, vous aurez le divin devant vous : non pas en prêchi-prêcha… non pas en théorie… car il vous sera révélé, manifesté, et surtout vous serez tenté de l’expérimenter !
C’est donc à la nouvelle génération de pousser avec nous un cri retentissant pour éviter la catastrophe environnementale, et, avec Louis Boutard, de mettre en application ces extraordinaires informations dans le respect total des forces de la nature.
Il existe bien une médecine scientifique, occidentale, fondée sur le monomoléculaire ; de même une agriculture « conventionnelle » ; de même il existe aussi une médecine chinoise ou ayurvédique ou homeopathique, chamanique, chacune formant un ensemble cohérent.
Mais Louis Boutard a réalisé une autre approche du Vivant, saisi à sa naissance même, jusqu ’à la création d’organismes ou zoaires amis de l’homme : c’est là le nouveau paradigme, le merveilleux défi proposé ici.
Ces forces magnéto-électriques du cosmos sont captées par le 4ème appareillage : qui décompose les alfas et les pis ou spirales lovées en quatre parties I, S, R ,O (oui, OSIRis est bien écrit avec I, S au centre.)
La forme fondamentale étant la pyramide statique, immobile, qui par giration donne le Cône.
Pyramide -armée de pointes- dont le dessin graphique littéral est la 4ème lettre de l’alphabet—ou alphagame (alpha, gamma, et non alpha , beta.) — d’où le chiffre 4 et la lettre delta : le delta.
—Kervran : « Il semble que certains phénomènes ne peuvent s’expliquer sans une autre forme d’énergie plus complexe parce que sans interaction avec la matière ».
C’est l’ocean d’a-ether du cosmos, de Louis Boutard, métastable, et qui suite aux chocs, vibrations, variations d’intensité est ≪ informé ≫, déstabilisé : y a-t-il ondes d’énergie ? Dématérialisation ? Et l’onde paraît transporter de l’énergie ; Kervran fait appel ici aux neutrinos, bosons, tout en suggérant « que l’énergie mise en oeuvre dans certaines manifestations de la matière vivante, ne vient pas uniquement de cette matière, mais que celle-ci sait puiser dans notre environnement, une énergie non détectée directement par nos appareils. »
On déduit :
Le courant induit se ≪ localise≫ dans l’induit car l’inducteur (à la fermeture et à l’ouverture du courant, cas de deux enroulements superposes) déstabilise les points magnéto-électriques spiralés de cet océan, dont l’attirance pour le métal les fait se grouper selon leurs tendances contraires d’où ≪ tension ≫ électrique. Ici on répond à la question pourquoi ? – Et non à comment ? –cela se passe.
Louis Boutard considère le récepteur radio comme un redresseur de courant séparant ces deux tendances. L’échauffement des cellules du cerveau par les émissions des portables ou l’élévation de la température du corps sous l’effet d’une bombe électromagnétique serait dû au même processus de séparation – entre le noyau et la membrane – des forces centrifuges, centripètes, de sens différent d’où tension.
Le fait majeur chez Louis Boutard reste la redécouverte de toutes ces informations dans le langage : le plus extraordinaire monument que l’homme ait conçu. Langues de tous pays, de toutes époques, jusqu’aux hiéroglyphes qu’il a rapportées à la « richissime » langue grecque ancienne en tous ses dialectes.