Le fer, même non acéré, (sans inclusion de carbone, lequel absorbe tous les
flux « A.tomiques » au sens de « sections, parties de l’entité A,a »), le fer doux
(lat. ferrum, fer.R.um, de fero R, « porter R ») est un catalyseur de l’article R
de A,a lequel (R, r) attire à son tour les π (PI) sur le métal (qui « prend » les
entités π (PI), formées de deux A,a joints, « A duo capit conctos », accolés
longitudinalement (en une nouvelle entité π (PI) spéciale, très importante, cause
de la propriété aimantique) mais sans les y retenir à demeure, comme le fait le
carbone de l’acier des aimants permanents ; le fer doux acquiert ainsi, sans
aimantation, le magnétisme bipolaire que nous avons signalé et qui n’est
qu’éphémère, entretenu seulement du fait du maintien de la position stable
indiquée de la barre ou de l’équerre suspendues.
Le nom grec du fer, SI.dêro/j de sidêros/w « lutter, repousser ».
J’ajoute le breton dèrh ? résister, tenir le coup.
« Lutte, répulsion » dénonce que le fer pur repousse par contre les articles SI,
SI = Γ (Gamma) de A,a ce qui expliquerait les étincelles jaillissant du contact brusque
du fer (du sabot de cheval) sur le pavé de silex (de SI.lacio « attraire SI »)
attracteur donc des mêmes articles SI = Γ (Gamma) de A,a véritables étincelles
électriques, issues de la rupture des monades A,a ambiantes, scindées en
SI = Γ (Gamma), d’une part (repoussés du fer et attirés par le silex) et RO = β (Bêta)
d’autre part (attirés par le fer). À la faveur de cette scission, les élèctres
E,e (+) des articles Γ (Gamma), et Υ (Upsilon) (-) des articles β (Bêta) se libèrent (attirées
par les π (PI) présents à cet instant sur le fer) pour se réunir en EU, eu avec
l’apparence des étincelles qui jaillissent entre les pôles (+) et (-) des
condensateurs d’électricités vitrées résineuses dites positives et négatives.