Une chose intrigue bien des savants, on en parle, on la subodore, on la devine, on la pressent, elle est là dans les expériences et dans les déductions, et même dans les équations ! Louis Boutard ne s’est pas limité à ses études théoriques, philologiques ou spirituelles, mais possédant une grande intelligence pratique, trente-cinq ans d’expérimentations lui ont permis en collaboration avec l’ingénieur Armand Hatinguais, de maîtriser et de parfaire plusieurs appareillages que nous présentons ici.
Qu’est-ce donc que cela ?
Ne peut-on le voir ?
Le mesurer ?
Comment faire ?
Ce site Internet vous offre une documentation assez complète sur Louis Boutard.
Pour aller plus loin et approfondir, nous avons conçu un livre pour initier à la pensée, à la vie, à “ l’esprit ”, et aux travaux de Louis Boutard.
Un chapitre traite de l’altération, la transition, et le changement ; et l’auteur conclut qu’il n’y a pas de sens attaché à la substance. Selon la (méta) physique de Louis Boutard une énergie créatrice d’hypostase du vivant peut être captée entre deux niveaux de “ tension ”de son appareil en forme de rhombe avec enroulements adéquats d’inducteurs et d’induits.
Ceux qui puisent à la Source de la Vie, ouvrent le champ des possibilités illimitées, puisqu’ils s’inspirent et bâtissent en empathie totale avec les forces à l’origine de la Création. Louis Boutard fut dans cet état dès 10-12 ans jusqu’à sa mort à 78 ans : omniscient, né philologue, botaniste, et physicien et surtout qu’inspire le divin, que le divin inspire. Avoir tout donné à la Vérité, santé et vie intellectuelle lui a permis de surmonter la connaissance des langues et civilisations depuis l’origine.
Louis Boutard a mis en évidence des « gouttelettes de pure électricité » — liant des parties magnétiques-qui peuvent rester en stase dans l’eau pure… et récupérées.
La partie physique de la matière, le psi, est déterministe, c’est de “ l’exocausalité ”.
Le psi est “ endocausal ”avec une capacité à faire des choix.
Le psi est immatériel. Il n’est donc pas concerné par l’espace-temps de la matière régie, elle, par la relativité d’Einstein.
Nous développons le concept de non-extériorité – “ cela n’a pas d’extérieur ” – pour une intéressante comparaison, et aussi le chapitre : « Transcendance… forcément ». Seul l’a-ether comme fond du décor, enduisant, induisant toute matière (créant un pôle Nord et un pôle Sud en votre piquet de fer planté dans votre jardin) permet la délocalisation.
Ces liens qu’on appelle la non-séparabilité quantique, la non localité, l’intrication, j’appelle ça la supralité.
L’océan d’a-ether de Louis Boutard revêt ces caractéristiques avec en plus la métastabilité ; mais lui, en a fait un ensemble cohérent, et une Science du Vivant !
Jean Claude Villame — Fascicules personnels & conclusions déposés à l’Académie.
Page 194 de l’ouvrage :
L’éther est source et réceptacle de tous les produits de transmutation (désintégration, radioactivité, absorption ou fusion, pas de suspension) de la matière/ énergie électrique quels que soient les objets, les formes ou apparences de ceux-ci : corps, cellule, molécule, éléments, atomes, électrons, neutrinos, rayonnement particulaire/ onde… Ou : température, fréquence, charges, pressions, masse, énergie.
Il manque à notre cosmologue de maîtriser cet éther qu’il a déduit de ses équations. Le lecteur pourra comparer sur plusieurs pages avec Louis Boutard.